À Toulon, loin des plages fréquentées et des localisations touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le fantôme, vivait une femme que l’on désirait librement Liora. On disait d’elle qu’elle savait déchiffrer le futur non dans les cartes, ni dans les cartes, mais dans les chapitres https://arthurmygms.bloginwi.com/67916931/les-lignes-qui-persistent