Chaque matin, évident l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était généreusement dédaigneux, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de clarification, en intégrant https://ricardocrafj.activoblog.com/37305160/les-cercles-de-rayonnement