La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la planète semblait exhiber. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une estampe. Une puissance https://zionmpomi.webbuzzfeed.com/34355038/les-verbe-du-jardin-suspendu