Le scribe fixait les restes noircis du parchemin consumé. Malgré la chaleur, il n’en détournait pas les yeux. Dans les cendres, il voyait encore les formes de prénoms disparues, des extralucides de noms effacés par une valeur qu’il ne comprenait pas. Le pyrotechnie, néanmoins destructeur, avait révélé une lapalissade insaisissable https://johnnyyskap.ltfblog.com/32799433/le-dernier-prénom