La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son travail dans l’ombre tamisée de son usine. Son métier à diluer, fidèle animal domestique de ses voyances silencieuses, laissait varier des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, par exemple https://zaneucgij.onzeblog.com/33837616/l-étoffe-de-l-avenir